QUOIQU'ON DISE, LES ABYMIENS NE MERITENT PAS CELA !

Publié le par Daniel MARSIN

On doit le savoir : le dernier coup de JALTON, s'il n'est pas contrecarré, va coûter très cher aux abymiens. En effet, la décision prise lors du dernier Conseil municipal a été présentée par certains médias comme un fait banal, une broutille, alors que, en réalité, il s'agit d'une hausse brutale des impôts, d'autant plus injuste que la ville des Abymes ne manque pas d'argent.

 Pour se rendre compte de la gravité de ce qui a été décidé le 30 septembre 2008, il suffit de lire sur ce Blog l'article "ALERTE ! ILS SONT DEVENUS FOUS!" . Très concrètement, les impôts vont augmenter de 8 à  46% en passant par +25% pour la taxe sur le foncier bâti et +33% pour la taxe d'habitation que tous les abymiens sont obligés de payer.

Ainsi, une personne qui aurait payé 700 euros en 2007 devrait payer 832 euros en 2008, si les Conseils Général et Régional n'augmentent aussi leurs taux. De même, une petite entreprise artisanale qui payait 3000 euros à la ville devrait payer 4380 euros au titre de 2008.

C'est irresponsable et inacceptable au moment où entreprises et familles sont fortement frappées par la crise. Et qu'il est de plus en plus question de baisser les impôts pour augmenter le pouvoir d'achat des citoyens.

Comment les membres de la majorité de JALTON, qui sont aussi des pères et mères de famille, ont-ils pu accepter d'être les complices d' un tel mauvais coup contre les abymiens? A supposer que JALTON ne paie pas d'impôts locaux mais les autres quand même ! A moins qu'ils aient voté sans savoir ?

Malgré mon amertume et ma déception, je ne peux laisser passer une telle injustice car, quoiqu'on dise, les
Abymiens ne méritent pas cela !

C'est pourquoi j'ai écrit au Préfet le 13 octobre dernier pour lui attirer l'attention sur
cette décision qui est, non seulement injuste, mais surtout illégale, et lui demander, comme c'est son devoir, d'exiger de JALTON le retrait de cette délibération folle et scélérate . Lisez donc :



Je fais confiance au Préfet dans son rôle de garant de la légalité des actes et j'attends sa réaction.
Dans tous les cas, si c'était nécessaire, en républicain convaincu, je saisirais sans hésiter le Tribunal Administratif.

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